Texte de référence à propos de Hypnose Ericksonienne
S’il arrive à tous de parfaire leurs connaissances sur des périodes plus difficiles que d’autres dans la vie, certaines demandent néanmoins des exercices complémentaires pour les passer au-dela de et se reconstruire. Chocs émotionnels intenses, traumatismes liés à l’enfance, troubles de la personnalité … les raisons qui poussent à démarrer une psychothérapie sont multiples et dépendent du parcours de vie de chacun. Parfois totalement conscientes de l’origine des difficultés rencontrées, parfois non, les gens qui souhaitent mettre un terme à leurs souffrances et pouvoir avancer dans leur vie, peuvent alors compter sur le soutien d’un thérapeute, qui mettra en place une démarche thérapeutique avec des gestionnaires de contenu et des conseils, afin de les aider. Pour autant, certaines personnes n’osent toujours pas franchir ce cap. La peur de parler de son histoire à un inconnu, la conviction de pouvoir lutter contre les problèmes seul, la légende persistante que les « petits problèmes du quotidien » n’intéresseront pas les psys ou plus simplement le prix des consultations jugés excessifs, sont autant d’arguments avancé. C’est ainsi que beaucoup de personnes continuent de souffrir, murées dans leur silence.
Toute personne passe dans son existence par une ou plusieurs crises, et doit faire face à des problèmes d’ordre professionnel ou personnel. Il arrive très souvent que nous arrivions à traverser ces instants difficiles grâce au soutien de nos proches, grâce à nos activités physiques, grâce au repos aussi. Mais il peut arriver que la crise persiste. Ses effets sont alors sur nous dans certains cas dévastateurs et induisent une colléctions de symptômes. Les symptômes sont l’effet de thèmes non résolus, de mal-être persistant, de non-écoute de ce que notre corps nous crie à travers eux. En règle générale, le simple fait de verbaliser ce qui contrarie et perturbe permet de dédramatiser. Chacun de nous peut donner l’exemple d’un problème qui l’a tracassé, en a tchaté sans toujours recevoir de conseils pour la résolution du problème mais s’en est senti libéré ensuite sans même avoir eu à agir.
Vous souhaitez devenir psychothérapeute, et vous étudiez maintenant la possibilité de suivre une formation en psychothérapie ? Pour bien des personnes, l’aide à autrui et la psychothérapie sont, lors de ce que j’appelle la crise professionnelle de la quarantaine, une perspective de réorientation apparemment accessible aisément. Les enfants ont grandi, la vie professionnelle déçoit, plafonne, l’entreprise est stressante, on aspire à autre chose. On souhaite plus et mieux d’humain, on se sent l’envie de coach, d’aider, et nombreux sont ceux et celles qui pensent à s’engouffrer passionnément dans une profession psychothérapique. L’alternative est simple pour certains instituts privés de formation. Il suffit de ne plus proposer de formation à la psychothérapie, mais de vous proposer de devenir conseillé confort, ou coach de vie, ou psychopraticien ou bioénergéticien. Le terme psychothérapeute est très facile à contourner. Mais pour vous, le résultat est la même : peut importe le titre que vous allez utiliser, vous risquez, au terme de votre formation, d’avoir dépensé beaucoup d’argent pour rien du tout et de vous retrouver à être dans un mouvement non valide de la psychothérapie.
la profession de thérapeute peut être une mission, dans ce cas elle va conduire relativement tôt à une démarche classique dans les études de perspicacité avec une spécialisation….. mais cela n’est pas souvent le cas, bien souvent, l’envie de devenir thérapeute vient après avoir suivi soi-même une thérapie pendant un temps suffisamment long. Le cheminement parcouru, le besoin d’aider les autres et devenir thérapeute ou praticien en relation d’être accompagné est alors tout à fait naturel. Chacun sait qu’il ne suffit pas d’avoir suivi une thérapie pour être thérapeute, c’est un métier ou une activité qui requiert des qualités et qui comporte aussi beaucoup de responsabilités. Quels que soient le parcours et la formation suivie ( avec ou sans diplôme ), il sera important de commencer sa pratique sous supervision. On peut alors se faire par ses pairs ( syndicat professionnel, école ou métier ) et s’engager à respecter un code de déontologie spécialisé à sa formation ou le code de honnêteté des psychothérapeutes édité par le syndicat national des psychothérapeutes.
Le psychothérapeute est un professionnel qui traite les personnes qui souffrent de troubles mentales ou somatiques ( troubles comportementaux, troubles de la personnalité ). Il soulage et recherche les causes des traumatismes passés afin d’augmenter le confort de l’individu sur la durée. A la différence de la sagacité ou de la psychiatrie, la psychothérapie est à la recherche donc à s’attaquer aux racines du mal-être. Depuis 2010, le titre de « psychothérapeute » est reconnu par l’etat ; il est réservé à certains professionnels, qui sont par ailleurs inscrits au livre de compte national des psychothérapeutes. A spécifier : il est aussi possible d’exercer la psychothérapie comme « psychopraticien », terme libre d’emploi et auquel tout le monde peut prétendre. dès lors, le psychopraticien ne pourra pas employer le titre de psychothérapeute. S’installer comme psychothérapeute à son compte, c’est intervenir dans un marché très concurrentiel, aussi bien en ville qu’en zone rurale. Les psychothérapeutes sont rivalisés par nombre de psychopraticiens pratiquant des solutions d’apaisement très variées parmi lesquels les sophrologues, hypnothérapeutes, gestalt-thérapeutes, praticiens en EFT, thérapeutes et psychanalystes…On compte en effet plus de 450 formes de thérapies « psy » en France, dont la plupart ne jouissent d’aucune reconnaissance. Le marché des médecines soyeuses, bien qu’en croissance régulière, est donc marqué par un creux généralisé au milieu duquel le public a bien du mal à se diriger.
La base de la formation est souvent faite d’un cheminement en sciences humaines, le plus souvent d’une durée de 3 ans. La formation psychologue, médecin, travailleur social, éducateur spécialisé, infirmier psychiatrique constituent de très bonne formation de départ. Il est ensuite possible de suivre une formation de 4 ans dans l’une des 20 solutions de psychothérapie validées et reconnues au niveau européen. La Fédération française de psychothérapie répertorie dans son répertoire l’ensemble des lycées et instituts sécurisés plébiscités. Pour suivre une formation de psychothérapeute et devenir un professionnel compétent, mieux vaut être soi-même complet et serein. Les qualités obligatoires sont un sens de l’écoute prononcé, des possibilités d’évaluation et un bon relationnel. L’expérience permettra de gagner en assurance. Un psychothérapeute opérant en libéral, gagne en moyenne 2300 euros bruts par mois après une année d’entrainement. Après une licence professionnelle perspicacité, un professionnel peut un type de psychothérapie particulier appelé thérapie systémique ou thérapie familiale. Cette thérapie est surtout adaptée pour traiter les problèmes chez de jeunes enfants. La formation initiale est presque toujours celle de psychiatre ou psychologue et la thérapie familiale représente pour faire simple une sur-spécialisation.
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